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Une fois le diagnostic posé

1 / La nécessité d’un travail en réseau

  • Dialogue avec les parents.
  • Rencontre des professionnels, équipe éducative.
  • Reconnaissance de handicap au besoin auprès de la maison du handicap (MDPH) cf. infra
  • Mise en place à l’école d’un projet individualisé (PAI, …).
  • Contacts réguliers entre l’enseignant et les professionnels de santé.
  • Proposition des ressources et de l’appui à la coordination du Dispositif Normandie Pédiatrie.

2 / Reconnaître l’enfant dans ses difficultés

  • Accepter sa lenteur : il lui faut du temps pour traiter une information quelle qu’elle soit.
  • Garder à l’esprit que les difficultés de mémoire interviennent dans toutes les activités proposées en classe ou à l’extérieur (cours de sport…).
  • Etre attentif aux signes de fatigue, aux difficultés d’attention soutenue et de concentration (le stimuler, l’interpeller régulièrement).
  • Encourager l’enfant dans les moments de difficulté, le valoriser dans ce qu’il sait faire.
  • Privilégier la qualité à la quantité : limiter la quantité d’écrits mais en exiger une certaine qualité.
  • Discuter l’apprentissage d’une seconde langue en fonction de la sévérité du trouble.

3 / Proposer  des solutions adaptées au trouble de l’enfant

  • La mise en place d’adaptations pédagogiques spécifiques,
  • La mise en place de prises en charge thérapeutiques adaptées,
  • La collaboration étroite entre les professionnels de l’éducation nationale et de la santé (professionnels de ville, CAMSP, SESSAD, SESSD, CMP, CMPP, équipes hospitalières).
  • Pour les enfants les plus en difficulté, une demande d’AVS ou d’outils d’aide informatiques peut-être réalisée auprès de la Maison du Handicap.
  • En ce qui concerne les examens, certains enfants peuvent bénéficier d’un tiers-temps supplémentaire et/ou d’un secrétaire lors des examens
  • Pour les enfants qui présentent un retard important dans les apprentissages scolaires, l’orientation vers une scolarité adaptée peut être proposée (CLIS).